
Michel Maxime Egger
Incarner dans l’être et la vie au quotidien l’unité fondatrice du réel entre le cosmique, l’humain et le divin. Cette quête anime depuis 30 ans ma trajectoire d’apprenti méditant-militant et mon engagement dans le Laboratoire de transition intérieure dont je suis responsable. Sociologue et écothéologien, j’accompagne ce travail sur le terrain d’une réflexion de fond à travers divers ouvrages sur l’écospiritualité et l’écopsychologie.

Alexia Rossé
Détentrice d’un Master en durabilité forte, mon travail au service de la transition intérieure est d’accompagner le changement de cap, re-tisser nos relations avec la nature et les autres humains et non-humains avec bienveillance, coopération et respect: une révolution et un éveil culturel, psychologique et spirituel, nécessaires à l’engagement et à l’action.

Dorothée Thévenaz Gygax
Ayant étudié l’anthropologie, j’aime appréhender la quête de sens. La transition intérieure est pour moi une manière de repenser notre relation au vivant, d’en éprouver les multiples dimensions émotionnelles, sensorielles, intellectuelles dans un milieu en pleine mutation face aux crises écologique, sociale, économique et spirituelle actuelles. Il est selon moi nécessaire d’opérer un changement intérieur pour se mobiliser durablement pour la justice sociale et climatique.

Hélène Bourban
Pour répondre à la crise écologique, doublée d’une crise des inégalités, une transition intérieure est aussi essentielle. Travailler sur la dimension intérieure collective de la transition me passionne : transformer notre vision du monde et de notre place dans la toile de la vie, revisiter nos imaginaires, questionner notre système de valeurs, nos représentations… J’aime animer des groupes, faciliter des ateliers, créer des liens et en prendre soin.

Sophie de Rivaz
L’apport du Laboratoire et de la transition intérieure ? Arriver, au tant que faire se peut, d’avoir de la cohérence entre mes idéaux et mes actes, retrouver le souffle face à toutes les contradictions que je vis entre les premiers et les derniers que ce soit à titre professionnel ou à titre personnel, trouver de l’énergie pour dépasser ou vivre avec (c’est selon).

Natacha Forte
Mes études sur les enjeux sociétaux de la durabilité m’ont mené à faire face à l’implacable réalité de la crise écologique, largement sous-estimée. Or, nous ne pourrons aspirer à un avenir juste et durable tant que nous ne changeons pas notre relation à la nature. Loin d’être un stock à gérer, elle est un système complexe dont nous faisons pleinement partie. La transition intérieure a ceci d’essentielle qu’elle permet cette reconnexion, tout en renforçant l’engagement.