L’action reste possible, malgré notre impuissance : allumer une bougie sur le rebord de la fenêtre, écrire des lettres pour les détenu·e·s politiques, participer à un cercle de silence, s’informer, murmurer des prières, lancer des initiatives, entretenir le souvenir et clamer
« plus jamais ça ».
Rester là même quand la fuite nous appelle. Ne plus rien pouvoir y faire et être pourtant encore capable d’agir.