La transition vers l’agroécologie, soutenue par l’EPER et ses organisations partenaires, contribue à améliorer la situation alimentaire ainsi que les revenus des familles paysannes. Elle leur permet également de mieux s’adapter aux phénomènes climatiques extrêmes.
Récolter le fruit d’un dur labeur
Récolter le fruit d’un dur labeur
« Ma terre, c’est ma prévoyance vieillesse. Les citronniers que j’ai plantés ont déjà nourri mes enfants. »Pedro Cruz Casco, horticulteur
Pedro Cruz Casco a de quoi être fier : 50 variétés de fruits et légumes prospèrent là où ne poussaient auparavant que du maïs et des haricots. Depuis 13 ans, il transmet son savoir sur les techniques de culture agroécologiques à d’autres paysan·ne·s, dans le cadre du programme de formation d’ADEPES, une organisation partenaire de l’EPER. Sélection des semences les plus résistantes aux conditions changeantes, contrôle de la qualité des produits, fabrication d’engrais bio et utilisation de goutte-à-goutte pour économiser l’eau font notamment partie de son enseignement.
Plus de 8000 paysan·ne·s bénéficient de formations, de microcrédits et d’un accès à l’eau potable et peuvent ainsi mieux faire face à la nouvelle donne climatique. Si cette démarche leur garantit une vie digne, nous aurons fait avancer la justice climatique.
Faire un don - EPER
Avec 80 francs, vous favorisez, par exemple, la formation de communautés rurales à un usage responsable de l’eau. Chaque geste compte. Merci !